Mario Murua participe à l'exposition collective VIVA sur le thème de l'Amérique Latine.
L’Amérique latine occupe depuis peu une place dans le marché de l’Art. Bien que l’Europe soit, en particulier la France pour certains artistes, le meilleur endroit pour vendre en dehors de leur pays, aujourd’hui encore naïve indigéniste ou au muralisme mexicain, l’art colonial. Non que ces courants ne soient pas très présents dans l’histoire, la culture, les pratiques et les réalités, parfois plus ou moins forts dépendant des pays mais il faut pouvoir apprécier d’une façon plus large la multiplicité de la création plastique de ce continent. le public européen et les critiques ont une espèce de préjugé sur l’Art contemporain latino-américain.
Nous avons souvent de l’Amérique latine une vision très cliché et pensons très vite à la peinture naïve indigéniste ou au muralisme mexicain, l’art colonial. Non que ces courants ne soient pas très présents dans l’histoire, la culture, les pratiques et les réalités, parfois plus ou moins forts dépendant des pays mais il faut pouvoir apprécier d’une façon plus large la multiplicité du travail plastique actuel de ce continent.
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